Ce poême est un trip. Je voulaisparodier un collègue qui en pince pour une demoiselle de mon IUT. Et comme je ne l'aime pas trop, je me suis permis de le parodier. Par la suite je ne sais pas ce que je ferais du poême, si je le donne à la fille en question ou si je l'affiche sur un panneau de l'IUT ...
Je me tate ^^
Tenter
Ô C***i,
Toi que je trouve si jolie,
Tu es le nectar des Dieux, l’ambroisie.
Ainsi commencerait la plus fine des poésies …
Devant toi je me sens tout moisi,
Tout mou aussi, comme de la pâte à modeler trop modelée,
Te souviens-tu au stage de ski,
Alors que nous étions avec le commandant Fleury ?
Déjà je m’enhardissais de rentrer dans ta vie.
J’aimerais que tu me vois
Non pas tel un putois,
Mais plus comme un roi,
Un souverain dont tu ferais la joie,
Ainsi, tu serais ma Reine,
Pour toi j’utiliserais Colgate Fresh Haleine,
Et je mangerais tout avec du sel « La Baleine ».
Ce poème, j’espère, ne t’inspire pas trop de haine,
A moins que ce soit la faute à mes pulls en laine.
Comme dit Baudelaire, « j’irais où tu iras » …
Je te suivrais à la manière des rats
Alléchés par l’odeur du Gouda
A l’image du Renard et du Corbeau qu’il trompa.
Donc je marcherais dans chacun de tes pas,
Jusqu’à ce que peut-être, je finisse sous tes draps.
Même en pleine lumière, tu m’apparais tel un soleil
Dans un univers où aucune étoile n’a vu son pareil.
Quand tes yeux se tournent vers moi, je me sens …
Comme un Stroumphf devant de la salsepareille,
Comme Winnie L’Ourson devant du miel,
Comme un enfant devant une vitrine de jouets,
Comme un musulman devant son Mahomet
Comme Michael devant de petits garçons,
Comme un gars perdu dans le désert devant un bac à glaçon.
Devant toi, je me sens vraiment trop con.
En cette douce journée de Septembre, je prends les devant,
Je décide de jouer à un jeu à double tranchant.
En espérant que ça ne finisse pas comme un certain 11 auparavant.
J’ai une chose aussi facile à te dire …
Que de rester en apnée plus de 3 minutes,
Que d’échapper à un lévrier PD en rut,
Que de manger un de ces Big Mac en une fois,
Que de faire trente-six mille choses à la fois,
Que de marcher sur le bout des doigts,
Et même d’imposer au monde ses propres lois.
En fait ce que j’ai à te dire, je ne te le dirais pas,
Non pas parce que l’envie me quitte de ce pas,
Mais par les simples rimes que j’écris ici et là,
Dans ta tête, et ton cœur peut être, c’est le branle bas de combat,
Ainsi, ne te voile pas, je sais que tu le sais déjà.
Pour t’aider, l’objet de ces mots
Représente un sentiment fort beau,
Qui lia plus ou moins et grosso-modo,
Juliette et Roméo, mais aussi, Esméralda et Casimodo,
Sans oublier toutes ces princesses qui un jour sans trop de peine
Trouvent un prince qui au loin les emmène,
Cendrillon, Blanche-Neige, Belle et La Petite sirène.
Oh, finalement, j’ai changé d’avis,
C***i, je te veux et je t’ – Biiiiip Biiiiip Biiiiip ….
- Allo … T’es là ? … hé ! OH !!! … Réponds quoi !!!
…
…
…
… P’tit c*n va !